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Focus sur les isolants biosourcés et les nouvelles réglementations

Issus de matière renouvelable (la biomasse animale ou végétale), les isolants biosourcés sont des isolants certifiés réputés pour leur faible impact sur l’environnement. Ils contribuent à améliorer le confort de vie au sein de la maison, sans impacter la santé de la population.

Faisant objet d’un marché en plein essor, les isolants biosourcés se présentent sous plusieurs formes : en panneaux, en rouleaux ou en ouate à souffler ou à projeter. Ceux qui sont issus d’une biomasse végétale disposent d’un atout majeur, car ils captent du CO2 lors de la photosynthèse et stockent le carbone biogénique. Durables, écologiques, performants, ils présentent nombreux avantages.

Les isolants biosourcés réduisent les impacts

C’est une priorité pour réduire les consommations et les déperditions énergétiques. Le recours à ces isolants biosourcés permet de réduire les risques pour la santé provoqués par les isolants classiques qui émettent des composés organiques volatils.  En effet, ces particules polluent l’air intérieur et provoquent des réactions diverses. Alors pour éviter ces désagréments, le recours à des matériaux biosourcés reste la meilleure solution, car moins de gaz à effet de serre sont émis lors de leur production.

Les isolants biosourcés : une grande source de profits

En plus de contribuer au développement durable, le surcoût engendré par ces matériaux reste très faible à l’échelle de la construction globale.

Pour ce faire, les maîtres d’ouvrage et les architectes peuvent trouver sans difficulté des artisans formés aux spécificités de mise en œuvre liée à certains produits. Ces derniers forment à leurs produits et accompagnent leurs chantiers.

Il faut noter qu’il est important de privilégier la ressource locale, car le bilan carbone a tendance à s’alourdir avec le temps de transport.

La paille et le liège, des isolants biosourcés à part

Un taux de croissance de 15 % pour les isolants biosourcés

Parlons de prix. Les isolants biosourcés sont en moyenne 10 à 15% plus cher que les isolants traditionnels. Par contre ils présentent d’autres qualités en plus : un meilleur confort acoustique, une meilleure durée de vie et très peu de risques d’effets toxiques des matériaux. Un marché en pleine croissance, ils représentent actuellement entre 8 et 10% du marché des isolants notamment pour les murs et les toitures. Le marché connaît une croissance à deux chiffres, car en 2018, 21 millions de m² d’isolantes fibres ont été posés.

Nouvelle réglementation : vers un environnement moins de carbone

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