Les prêts immobilier moins accessibles aux plus de 65 ans.
Plus le demandeur de prêt est âgé plus les banques vont être plus réticentes à donner un prêt à leurs clients. Il n’est pas impossible à un senior d’accéder à un prêt immobilier mais les conditions seront beaucoup plus strictes que pour un trentenaire ou un quadragénaire actif. Mais si cela semble injuste, l’explication est pourtant très logique : les banques prennent plus de risques lors d’un prêt à une personne âgé, le risque de maladie augment ainsi que le risque de décès et augmente donc l’éventualité d’un non-remboursement. Pour souscrire un prêt immobilier les seniors vont se retrouver face à deux problèmes majeurs, il est donc très important d’avoir le meilleur dossier pour obtenir un crédit
L’assurance décès-invalidité fait augmenter le prix
Même si l’allongement de l’espérance de vie grandit, l’accès au prêt pour les retraités reste difficile. L’assurance décès-invalidité est le problème principal car cette assurance aura tôt fait de faire exploser la facture. Pour un adulte dans la force de l’âge le coût des assurances dépasse rarement 0,45% du capital emprunté. Pour une personne de 65 ans, ce taux est automatiquement fixé à 1% et peut même monter à 1,5% selon l’hygiène de vie du client. Pour éviter les excès de taux, il existe des « contrats seniors » qui échelonne les mensualités de remboursement jusqu’à l’âge de 90 ans. La convention AERAS permet de faciliter l’accès à des prêts immobiliers pour les personnes âges souffrant de problèmes de santé.